Le parcours d’un entrepreneur (4/6)
Le parcours d’un entrepreneur n’est pas tout tracé. C’est ce qui fait son charme… En effet, entreprendre demande de suivre son instinct, son intuition - cette petite flamme qui anime la passion, cette petite voix qui conseille et qui pousse à aller de l’avant, à « juste y aller », vers l’inconnu.
Texte publié le 15 septembre 2020
Il y a toujours un moyen, il suffit de le trouver.
« Aller – hardiment – là où personne n'est allé auparavant », c’est la devise qui guide voire définit l’entrepreneur. À la base, entreprendre implique la prise de risque, sur lequel carbure le progrès – qui ne tente rien n’obtient rien. Pour un entrepreneur, la chance est quelque chose qu’on saisit, non sans une certaine prise de risque, et non quelque chose qui apparaît sans plus.
Un entrepreneur doit « en avoir » en effet… : de la confiance en soi, en sa vision, en ses compétences, en son projet. Puis la capacité d’agir, de réagir, d’improviser quand les choses ne se passent pas comme prévu. Cette agilité signifie de pouvoir apprendre des problèmes qu’on rencontre sur son parcours, de dévier du parcours. Comme le disait un certain Donald T., entrepreneur réputé devenu président des États-Unis, dans un discours adressé à des étudiants : être face à un mur n’est pas une fatalité - on peut le contourner, grimper dessus voire le détruire – mais en aucun cas il signifie le fin du parcours.
En effet, un obstacle rencontré ne sonne pas la fin du trajet, au mieux il rallonge le parcours et au pire il mène à un nouveau départ vers un nouvel objectif. Mais dans tous les cas, on continue d’avancer les yeux rivés sur l’objectif, d’aller plus loin, de s’approcher du sommet.
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